Articles et chroniques

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Ainsi Va la Vie… épisode n° 254… Le festival d’Avignon… le dessinateur Didier Tarquin… Francis Huster… être Amoureux…

 

Juste une chronique pour vous parler de tout et de rien, faire un peu le point avant ces grandes vacances au sortir de ces confinements successifs plus ou moins bien vécus selon que l’on soit cigale ou fourmi … mais il est toujours difficile de mettre un papillon en cage même si la porte reste ouverte à des heures précises.

 

Nous oublierons cette période un peu ou très compliquée  pour certains, et nous en tirerons néanmoins de fructueux enseignements. Parfois les chagrins nous apportent presque plus que des Amours que l’on croyait immortels. En toute chose malheur est bon et il faut considérer la fin de la fable pour tirer des enseignements de sa morale.

 

Pour infos ! Et un rien à l’emporte-pièce, mais comme je ne sais pas où le placer autant l’envoyer tout de suite : Je ne tiendrai pas, comme je le fais chaque année depuis des lustres et bien souvent avec la complicité de mon amie de toujours la photographe  Sophie Vernet,  je ne tiendrai pas cette année  la chronique : « Les échos du Festival d’Avignon ». Pourquoi ?  Comme je vous dis tout, on ne va pas tourner dix ans autour du pot... Au moins vous ne pourrez pas dire que je cherche de faux prétextes, d’ailleurs pour ceux qui me connaissent un peu ce n’est pas vraiment mon genre, Et bien soyons cash !  Je n’en ai simplement pas très envie.  Simple  manque de motivation personnelle, romans à terminer et peut-être pas assez la tête à ça. Alors, plutôt que de mal faire ou très « à peu près » je préfère ne rien faire du tout.  Je sais que des artistes qui me sont chers et d’autres qui m’attendaient vont être un rien déçus, mais nul n’est irremplaçable, il y a bien d’autres chroniqueurs qui sauront mettre leurs talents en lumière c’est indéniable. Il est possible que j’aille néanmoins assister à un ou deux spectacles mais comme ce n’est vraiment pas sur… n’en parlons pas.

 

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Mais tiens, puisqu’on parle du festival… petit clin d’œil !

Petit clin d’œil à Julie Marie que j’ai découverte avec bonheur il y a deux ans déjà dans la pièce « Promenade de santé » de Nicolas Bedos au côté de son complice et ami tout aussi talentueux Michel Tabo. Nous  la retrouverons sous peu, je n’ai pas les dates, dans un One-woman-show ou  un : seule en scène en français : Irrésistible qu’elle a écrit. Un Stand-up  mise en scène, comme une évidence, par Michel Tabo lui-même. Comment pourrait-il en être autrement ! Et en attendant, elle a tourné un joli rôle au côté de Laura Morante dans le dernier film de Nicolas Bedos toujours en tournage d’ailleurs: Mascarade.

 

Quand un dessinateur de BD rentre dans sa propre bulle seul au milieu de la foule. C’est le paradoxe de nombre d’écrivains ou de dessinateurs  se besoin de sortir des quatre murs, d’un bureau, d’une chambre ou d’un appartement entier, pour chercher le contact des autres et s’isoler au milieu de ce monde qui passe,  qui bouge,  qui parle fort ou chuchote, de ce brouhaha, de ses bruits, de la vie. La vie qui  vit le plus normalement du monde presqu'à en oublier la présence des artistes en pleine création.

 

 

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Tous les jours de marché, dans le  coin d’un café du cours Mirabeau à Aix en Provence, en dehors de boire mon traditionnel petit noir du matin, crème dans mon cas,  je papote avec Didier Tarquin. Et Didier, pour la circonstance, sort quelques instants de la bulle qui l’entoure avant d’y retourner dès mon départ et rejoindre sous son crayon ou l’encre de sa plume LANFEUST le héros qu’il entraine vers de fabuleuses aventures.

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Et oui tous les matins ou presque son art sort du confinement réducteur  de sa planche à dessin pour s’étaler sur une table de bar au milieu des va-et-vient incessants qui ne le gêne pas le moins du monde, bien au contraire. En plus, mais vous vous doutez bien qu’autrement je ne vous en aurais pas touché un mot !...  Waouhhh !!! Quel Talent !

 

 

 

 

 

 

 

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Francis Huster…
Samedi dernier, en dehors d’une rapide visite au Festival  des écrivains du Sud  à Aix en Provence,  où je ne dédicaçais pas cette année,  j’ai assisté à une extraordinaire lecture de Francis Huster.

 

Devant un public qui semblait captif jusqu’à l’hypnotisme par sa présence, sa voix et de la teneur de ses propos, Francis Huster a lu en partie seulement et c’était bien dommage : « Tout ça pour elle » un texte  splendide, qui bien  plus qu’un hommage à Louis Jouvet, dont c’est cette année les 70 ans de la disparition,   racontait, avec émotion, humour, franchise et parfois colère,   le parcours, les tournées et les positions du maitre durant  la dernière guerre.

 

Ce texte, écrit par Francis Huster et qu’il déclamait avec, sinon la voix, tout au moins les accents et le phrasé  du maitre, m’a personnellement bouleversé et je ne fus pas le seul. Huster était Jouvet et Jouvet nous transportait.

A la fin, en comédien rare et inclassable, Francis Huster est redescendu sur terre plus vite que son public qu’il avait emmené haut, très haut, tellement haut dans ce merveilleux et singulier voyage que personne ne voulait plus débarquer du navire flottant encore sur les nuages de la musique de sa voix. Que dire ? Merci !... Bravo !... C’est rare mais je n’ai pas les mots…. Standing Ovation !  Serait le minimum !

                                                                                                        Williams Franceschi 

 

 

 

Etre Amoureux.  Dans un petit, tout petit texte publié dans un post  durant le week-end de la fête des pères, je vous parlais de ma perception du sentiment « d’être amoureux »… Et quand je dis : Amoureux ; ce peut être de la vie… tout simplement… Mais si,  je vous assure ! Vous n’avez pas l’air convaincus ? Ok alors restons dans un contexte sentimental !...

 

J’ai eu sur ce sujet, une longue discussion avec une amie… nous avons échangé nos points de vue  sur la période durant laquelle on est amoureux. Pour elle ; c’est au début, pour moi au début c’est la découverte, la séduction, et puis, mais pas toujours, on peut tomber amoureux !.... Mais peut-être a-t-elle raison?!… Ce que je vous raconte-là est en lien direct avec le roman sur lequel je travaille, évitons, s’il vous plait  les amalgames avec des suppositions sur ma vie privée, si demain je vous parle de crime c’est certainement pour écrire un polar pas pour assouvir l’envie qui me démange de liquider ma voisine de palier... quoi que !?

 

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Donc puisque les choses sont claires,   revenons à notre réflexion sur « Etre Amoureux ! » Alors je crois, et encore une fois ce n’est qu’un avis personnel, qu’en plus d’une quantité insoupçonnée  de symptômes annonciateurs  prouvant que nous sommes atteint par la plus tendre des maladies, contagieuses en plus, … Je crois tout bêtement que l’on est certain d’être amoureux quand la personne vous manque… juste parce que vous ne l’avez pas vue, pas frôlée, pas sentie, pas  eu au téléphone, par mail, ou messages,  qu’elle ne donne pas de nouvelles depuis  24heures quand ce n’est pas  12 ou même beaucoup beaucoup moins… le temps perd la notion du temps quand on est amoureux..

On est amoureux quand son image revient...revient vous troubler l’esprit alors qu’on voudrait penser à fond à des sujets qui nous préoccupent et que l’on croit bien plus importants... mais voilà, son visage, son sourire, la musique de sa voix ne nous quitte plus …. Quand l’envie et le besoin ne font plus qu’un… quand elle  nous manque ! Simplement nous manque,  et qu’on aimerait bêtement lui manquer aussi.

 

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À quoi bon vouloir expliquer ! Etre amoureux ce n’est pas vraiment comme le  coup de foudre même si parfois tous ces sentiments se mêlent et s’entremêlent différemment pour chacun de nous.   « Etre amoureux » c’est tout aussi magique…. Et cette sensation de manque en bien des circonstances, nous prouve qu’on peut être amoureux longtemps, très longtemps après ou pendant une vie commune, longtemps après les premiers jours, longtemps après un départ sans retour possible, ou deux jours quand ce n’est pas deux minutes après s’être croisés… Etre amoureux c’est magique…   Mais la magie peut se révéler parfois cruelle… ou éternellement  merveilleuse!

 

Ainsi Va la vie…

 

Williams Franceschi       

 

 

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02/07/2021
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